5 sites pour envoyer des fichiers

Lorsqu’il s’agit d’envoyer des gros fichiers, le mail est parfois trop juste ! Quelques kilos en trop et c’est la déception au moment de l’envoi. La fameuse erreur de Gmail : “Ce fichier dépasse la limite de 25 Mo pour les pièces jointes. Désolé.”
Pas de panique, vous savez que Tonton Cédric a toujours dans sa botte secrète des sites qui aident votre quotidien. Aujourd’hui, ce sont 5 sites pour envoyer des fichiers (sans limites de taille)…

1. FileTea

Un excellent service pour partager des fichiers volumineux ou en nombre illimité. Il suffit d’appuyer sur le bouton « Add files », vous sélectionnez votre fichier et vous partagez le lien. Une deuxième fenêtre vous montre les transferts.

2. File ai

Aucun logiciel à installer. Aucune limite de taille ou de fichier. Transferts à la manière de BitTorrent. Rapide, facile et sécurisé. 100% gratuit ! Que demander de plus ?

3. PipeBytes

PipeBytes propose également l’envoi de fichier de navigateur à navigateur avec aucune limites de taille. Musique, films, vous pouvez tout transférer !

4. FilesOverMiles

Outil de partage qui vous permet d’envoyer directement des fichiers en ligne de façon sûre et rapide. Aucune inscription requise et aucune installation n’est nécessaire puisque tout se passe en ligne.

5. JetBytes

JetBytes fait la même chose que ses précédents petits copains : choix du fichier, lien, et transfert. Tout se passe très rapidement.

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Cloudfogger : crypter ses fichiers sur Dropbox, Google Drive, Skydrive et autres

Dropbox, Skydrive, ou plus récemment Google Drive, tous ces services permettent de stocker des fichiers dans le “cloud” (ou “nuage” en français). Ce système, pour ceux qui ne connaissent pas, permet d’offrir un énorme avantage : pouvoir accéder à ses fichiers depuis n’importe quel appareil connecté à Internet. Mais il reste encore beaucoup d’utilisateurs préoccupés par la confidentialité de leurs fichiers.
Cloudfogger va certainement vous rassurer puisqu’il permet de crypter vos fichiers de Dropbox, Google Drive, Skydrive et les autres…

Cloudfogger est une application gratuite disponible sur Windows, Android, et bientôt iOS (iPhone et iPad). Elle vous permet de crypter vos fichiers avant de les envoyer sur différents services de stockage en ligne.
Cloudfogger crée un nouveau dossier et utilise un algorithme de cryptage puissant pour chiffrer vos fichiers. Il servira donc de “bouclier” et bloquera l’accès à tous les curieux indésirables.
Je dois vous avouer un p’tit truc. Je n’ai pas pu tester cette application puisque je suis désormais sur Mac. Mais Cloudfogger a attiré mon attention car je parlais justement de confidentialité avec Jaydes dans l’article 8 extensions Chrome pour Google Drive. Il a ouvert un sujet passionnant sur la confidentialité. Si vous êtes dans le même cas que lui (un peu parano ), je vous invite à rejoindre la discussion via le lien ci-dessus.

Avez-vous testé Cloudfogger ? Cryptez-vous vos fichiers sur les services de stockage en ligne gratuit ?

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Google peut maintenant indexer le contenu interactif d’une page Web

Google se nourrit de l’indexation de son moteur de recherche avec les données du site recueillies à partir d’une armée virtuelle de « bots », nommés GoogleBot, donc utilisés par le moteur de recherche Google afin de recenser et indexer les pages Web, qui écument ainsi chaque jour des milliards de pages Web. Mais, par le passé les robots d’indexation deGoogle se heurtaient à un mur dès qu’ils devaient parcourir du contenu interactif qui étaient chargé en JavaScript, surtout dès lors que ​​les pages usaient et abusaient de la technologie AJAX, Asynchronous JavaScript and XML, et ce dans le but de permettre aux utilisateurs d’accéder à du contenu supplémentaire sans avoir à recharger les pages.

Mais, maintenant si l’on en croit le développeur Alex Pankratov, il semble que les robots de Google soient capables d’agir plus comme des êtres humains à tel point qu’ils pourraient d’exploiter le contenu interactif d’un site Web, exécutant ainsi le JavaScript sur ​​les pages lors de l’indexation permettant ainsi de voir ce qui se cache derrière les différentes pages !

Google a par le passé offert des propositions visant à rendre le contenu AJAX plus consultable, mais ce travail était à la charge des développeurs plutôt que les GoogleBots, mais celles-ci n’ont pas convaincus autant que Google l’avait espéré.
Au cours du dernier trimestre 2011, Google a finalement commencé à comprendre comment résoudre efficacement le problème, et acommencé à déployer les robots d’indexation qui pourrait explorer le contenu dynamique des pages en mode limité. En effet, cette version permettait simplement de récupérer à travers le code JavaScript d’une page, de trouver les URL et les ajouter à l’analyse.
Il a fallu que Google puisse permettre, dans certains cas, à ses robots d’envoyer des requêtes dîtes POST vers des sites Web, selon comment le code JavaScript était écrit, plutôt que de simplement effectuer une requête traditionnelle GET pour en extraire le contenu.
Par conséquent, par exemple Google a pu commencer à l’indexation des commentaires sur Facebook, ainsi que d’autres des systèmes de commentaires « dynamiques ».

Matt Cutts@mattcutts

Googlebot keeps getting smarter. Now has the ability to execute AJAX/JS to index some dynamic comments goo.gl/F9et1

1 Nov 11

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Maintenant, sur la base des logs de Pankratov, il semble que plutôt que de simplement exploiter de façon mineure les URL dans les scripts, les robots se promènent encore plus profondément que les commentaires, en traitement des fonctions JavaScript de telle manière qu’ils imitent l’action utilisateur lorsqu’il clique sur les objets qu’ils activent.

Cette nouvelle va fournir à Google d’avoir un meilleur accès au « Web profond », en permettant ainsi d’accéder à du contenu caché dans des bases de données, ou encore d’autres sources qui ne sont généralement pas indexables.

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PostgreSQL 9.2 bêta disponible

Le PostgreSQL Global Development Group publie la version bêta de
PostgreSQL 9.2, la prochaine mise à jour majeure du SGBD relationnel open source. 

Cette mouture améliore considérablement les performances et les possibilités d'extension verticale et horizontale.

Les avancées principales en terme de performance et d'échelonnabilité incluent :

• les parcours des seuls index, qui permettent aux utilisateurs d'éviter d'inefficaces parcours des tables ;


• la possibilité d'atteindre une charge de lecture sur 64 cœurs de plus de 300 000 requêtes/seconde ;


• des améliorations de la vitesse d'écriture des données, grâce notamment à la validation de transactions par groupe ;


• abaissement de la consommation CPU ;


• réplication en cascade, permettant une distribution géographique des esclaves.

PostgreSQL 9.2 apporte également de nouvelles fonctionnalités pour les développeurs d'applications, dont :

• le support des données JSON, autorisant les bases hybrides document-relationnelle ;


• les types échelle, ce qui permet de nouveaux types calendrier, échelles de temps, et d'applications analytiques ;


• de nombreuses améliorations de la commande ALTER, et de quelques autres instructions, facilitant les modifications de bases en production.

Le projet repose sur la participation active de la communauté à cette période de tests pour permettre la publication d'une version hautement performante et dénuée de bogues. 

 Télécharger PostgreSQL 9.2 beta

 La liste complète des fonctionnalités de cette version

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Les marques adoptent de plus en plus Google+

Interbrand, fondée en 1974 et qui est maintenant la plus grande agence de conseil des marques dans le monde, vient de révéler que deux nouvelles marques, qui se classent dans son top 100, ont adopté la plateforme Google+. Ces dîtes marques sont Xerox et Nike ! D’après une analyse de Simply Measured, on peut noter que la moyenne hebdomadaire d’engagement des cercles de Google+ est de 112%, quant-à l’engagement du contenu, ce dernier est en hausse de 65%.

Fait intéressant, les plus grandes marques haut de gamme sont sur Google+, y compris des noms tels que Ferrari, Gucci et Burberry. D’ailleurs, pour Gucci on peut noter une croissance entre Q1 et Q2 de 55,925% d’ajout au sein des cercles. Ce niveau de croissance globale montre que les marques sont la priorité de Google+.
La stratégie de Ferrari de partager souvent du contenu, et notamment du contenu multimédia est payant ! Les marques feraient bien de suivre et de reproduire les stratégies de Ferrari…

Les marques ont raison d’être enthousiaste et optimiste à propos de Google+ : encore une fois, en moyenne hebdomadaire d’engagement des cercles est de 112% depuis Février. Cela étant dit, il est encore loin d’être le type d’engagement vu sur Facebook…

L’engagement du contenu est également à la hausse : il a augmenté de 65%. Le contenu multimédia (photos et vidéos) continue à être la grande majorité du contenu partagé. Toute marque voulant être un acteur de premier plan sur Google+ doit tenir compte de cela dans leur stratégie d’engagement.

La grande majorité de l’activité Google+ a lieu au cours de la journée. Si l’adoption par les consommateurs augmente, il sera intéressant de voir si l’heure de publication évolue…

On peut légitimement dire que Google+ est là pour rester, et devient un acteur clé dans l’espace des médias sociaux. D’ailleurs, le géant de la recherche fait tout son possible pour promouvoir son service social. Acquérir de l’audience, c’est bien, se connecter aux gens et travailler leur engagement là est le vrai challenge, là est la réussite

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Adobe propose Creative Cloud et Muse afin de créer facilement un site Web

Adobe a annoncé la disponibilité de son service Creative Cloud, sujet que j’ai abordé à de nombreuses reprises sur le blog, permettant de créer et partager du contenu, ainsi que la mise à disposition de son nouvel outil, Adobe Muse, qui permet aux concepteurs de créer des sites Web sans avoir à s’impliquer réellement dans le développement.

Disponible auparavant en version bêta, Adobe Muse est destiné à permettre aux créateurs de sites Web à se concentrer sur la conception du site Web, au lieu de devoir faire également l’intégration, ce qui rend la planification, la conception et la publication de pages Web plus facile.

L’outil se concentre sur le concept de pages « maîtres », l’aspect et la convivialité pour toutes les pages dans le site. Ceux-ci sont créées à l’aide des outils de conception graphique, mais produisent du code source standard en HTML, JavaScript ou encore CSS, et ce afin d’afficher correctement les pages Web.

Les utilisateurs peuvent prévisualiser et tester un site Web directement depuis Adobe Muse ou encore publier sur un site temporaire, ce qui permet aux développeurs commerciaux de partager l’URL avec leurs clients.
Adobe propose un service d’hébergement dans le cadre de l’abonnement annuel, mais les utilisateurs peuvent choisir d’utiliser n’importe quel hébergeur Web.

Adobe Muse est offert sur une base d’un abonnement de 18,44 € par mois avec un plan d’abonnement annuel, ou 30,74 € par mois pour un abonnement mois par mois. Alternativement, il est également disponible dans la suite Creative Cloud d’Adobe.

D’abord annoncé l’an dernier, Creative Cloud est une plaque tournante en ligne grâce à laquelle les professionnels créatifs peuvent accéder aux services en ligne pour le partage de fichiers, la collaboration et la publication de contenu.
Cette suite est conçue pour être accessible en conjonction avec les applications d’Adobe Creative Suite 6, ainsi que que la gamme Adobe Touch Apps que la firme a mise au point pour l’iPad d’Apple et les tablettes Android.

Aussi offert en tant que service d’abonnement, Creative Cloud permet de stocker et de partager du contenu sur des ordinateurs de bureau, des appareils mobiles et le cloud. De plus, le service permet l’édition et l’hébergement de site Web intégré, et un accès pour télécharger et installer toutes les applications de la suite Creative 6, y compris Adobe Muse.

Pour vous abonner à la gamme Creative Cloud d’Adobe, vous devrez débourser 49,99 € par mois sur la base de cotisation annuelleou 74,99 € par mois avec un abonnement mois par mois. Une édition pour les étudiants et les enseignants est également disponible pour 24,99 € par mois sur la base d’une cotisation annuelle.

Pour information, la formule annuelle vous permet pendant toute la durée de l’abonnement d’avoir accès aux mises à jour des outils, des services et des applications Creative Cloud, y compris les nouveautés de dernière minute introduites dans les produits. Quant-à la formule mensuelle, celle-ci vous permet de suspendre votre abonnement et de le réactiver dans un délai de six mois, sans aucune réinstallation. Passé ce délai, votre compte sera désactivé et vous devrez souscrire un nouvel abonnement.

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Nouveau design pour SoundCloud

SoundCloud, qui s’est imposé comme le réseau social musical par excellence et dont la croissance rapide de la plateforme n’est plus à prouver, a annoncé aujourd’hui qu’une nouvelle version de ses applications est en cours de développement, ou plus précisément de test. En effet, cette refonte est maintenant disponible par le biais d’invitations à la bêta privée, nomméeThe Next SoundCloud, et sera mise en œuvre par étape au cours des prochains mois. Les caractéristiques de la nouvelle conception vont inclure un lecteur plus interactif, la possibilité de repartager les sons, et la possibilité de jouer le titre en continue.

« Over the past few years we’ve been championing the need to un-mute the web and have signed up over 15 million sound creators in the process », a déclaré Alexander Ljung, fondateur et PDG de Soundcloud. « Aujourd’hui, nous allons plus loin pour atteindre cet objectif en lançant une version bêta privée du prochain SoundCloud, qui délivre une plateforme plus simple, plus rapide, et ce afin d’aider chacun à comprendre davantage le son », poursuit-il.

SoundCloud peut être considéré comme Instagram mais pour les fichiers audio. Ainsi, l’enregistrement ou le téléversement d’une musique sur SoundCloud qui est très simpliste, vous permet de partager avec vos amis et les réseaux sociaux ou d’incorporer sur des pages Web, vos œuvres. Le service a récemment vanté d’avoir plus de 10 millions d’utilisateurs enregistrés, et ce après le lancement d’une application mobile publiée l’an dernier.
Les changements à venir dans SoundCloud apporteront un regard entièrement nouveau et de nouvelles fonctionnalités aux utilisateurs.

« SoundCloud a été ré-étudié de l’intérieur », a déclaré Eric Wahlforss fondateur et CTO de SoundCloud. Il poursuit en indiquant que la nouvelle version est beaucoup plus qu’un changement esthétique. En faisant usage de l’état des technologies de pointe disponibles dans les navigateurs de dernière génération, ils ont créé une plateforme technologique qui leur permet de fournir une expérience utilisateur meilleure et de développer de nouvelles fonctionnalités plus rapidement.

Ce qui m’a littéralement scotché dans cette nouvelle conception est le player utilisé. SoundCloud affirme que ce dernier est plus visible, plus interactif, et ne contient aucun encombrement des commentaires. En fait, l’entreprise indique que presque tous les aspects de la plateforme ont reçu ce traitement, avec des profils, des décors, des raccourcis clavier et des contrôles du volume afin qu’il soit plus facile de naviguer sur celle-ci et plus qu’elle soit plus intuitive.

La nouvelle fonction pour rediffuser permet aux utilisateurs de re-partager les sons et les sets des autres utilisateurs, SoundCloud l’ajoutant dans des listes de lecture.

En plus de ces nouvelles fonctionnalités et améliorations esthétiques, SoundCloud va commencer à utiliser les notifications pushpour permettre aux utilisateurs de savoir instantanément les sons qui ont été partagés ou encore ceux qui ont reçu un « j’aime ».
Le système de mails a donc été revu, ainsi que la recherche dont les algorithmes ont été améliorés afin d’offrir le contenu plus rapidement et des recherches plus pertinentes.

SoundCloud espère distribuer « des dizaines de milliers » d’invitations cours de cette période bêta, et prévoit de lancer une version bêta publique dans quelques mois… Quant-à la version finale, celle-ci ne sera pas publiée avant la fin de l’année.

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